Ołdyø-Kapitall
Kapitall, ou Ołdyø-Kapitall est la capitale du Bosrijk avant la Grande Catastrophe. C’était une énorme ville, la plus grande de son époque, où résidaient les rois et empereurs du Bosrijk depuis la nuit des temps. Cette ville fait partie de celles qui n’ont pu être totalement évacuées avant la Nouvelle Grande Catastrophe, cette ville est donc toujours occupée par des survivants qui vivent dans les galeries souterraines, où étaient aménagés des serres à UV.
Histoire
Fondation de Kapitall
Après la première grande catastrophe, des colons d’un royaume nommé Kovpetjki qui ont monté sur le Mecha des Glaces, d’après les traces laissées, ont fondé premièrement cette ville sous le nom de Kovpetla vers -1785, soit 100 ans après la Grande Catastrophe Antique. Peu de traces ont été découvertes sur cette phase de l’histoire de Kapitall mais on sait que cette ville a été abandonnée environ 10 ans après sa création pour des raisons inconnues.
En -1756 fut fondée Kovpital des mêmes colons du royaume Kovpetjki ont décidé de réhabiliter cette ancienne ville comme nouvelle province à l’est. Cette ville a mis du temps à se recoloniser, mais d’après les sources écrites, elle a atteint les 800 habitants en -1703, ce qui a constitué sa population moyenne jusqu’à la fin de cette posistion. C’est cette phase de la cité qu’on a retrouvé le plus profond, et on a des informations assez précises sur cette ville. Elle était pourvue de murailles qui assuraient sa protection face aux ennemis de l’est ainsi que d’une forteresse, ce qui atteste de l’importance stratégique de Kovpital.
En -1621, Kovpital fut envahie par de Evpaakonik, une tribue de l’est de Kapitall, qui a aussi envahi tout l’ouest du Korok, jusqu’au delta de l’Amnerak, qui constitue le dernier bastion des civilisations originelles. Leurs descendants existent toujours dans notre société. Kovpital fut renommée Kapital par les amneriks et continua son développement. Elle atteint le millier d’habitants vers -1582, puisque cette ville est devenue très attractive avec ses été doux par rapport aux zones tropicales de l’est et elle connaît une croissance spectaculaire. En -1536, l’empire Amnerak s’autodétruit à cause de problèmes de succession et la ville de Kapitall, menée par le cinquième fils de l’empereur Omaan II : Llekvik no Kygoka qui se renomme Llekvik no Kapitall et Kapital est renommée Kapitall pour montrer son dévoument à Llekvik no Kapitall.
Cité Libre de Kapitall
Kapitall était une cité libre comme beaucoup d’autres. Elle effectuait beaucoup de commerce avec l’ancienne cité libre de Ovepkan ainsi qu’avec les royaumes Iokiens grâce au fleuve du Korok. La ville était régie sous une Oligarchie Monarchique, une méthode de gouvernement unique à Kapitall. Cela consistait en un roi qui avait en réalité peu de pouvoir mais qui communiquait avec le peuple et derrière une Oligarchie classique dans laquelle trois personnes étaient élues par le roi.
Le panthéon bosrik vient de cette époque dans laquelle énormément de légendes ont pris leur sources. La très connue légende de l’épée du roi Darnassus II était une vraie épée forgée en darnassium, qui était tombé du Mont Maudit lors d’un éboulement.
La cité de Kapitall était connue pour avoir des tendances belliqueuses surtout avec d’autres anciennes cités sur le Korok qui empêchaient souvent le pèlerinage au Grand Mont. La guerre la plus connue était celle contre la cité-êtat de Mjaadki en -58, ville au pied du Grand Mont qui, alors qu’elle était en guerre contre la cité de Añara, avait refusé l’accès des pèlerins au Grand Mont, par peur que ce soit des Añorains. Lorsque la cité de Kapitall a eu vent de cet affront, elle a déclaré la guerre à Mjaadki et l’a complètement rasé, mais a aussi déclaré la guerre à Añara et elle est devenue une possession de la cité de Kapitall. Peu de temps après, en -42, à la mort du roi Emux III, la cité de Añara a été cédé à son deuxième fils, Kiljan Von Kapitall qui est devenu l’Archoligare de Añara.
En -1, le roi Munix I décide de chosir lui-même comme les trois oligares qui eux prenaient les décisions. Ceci provoqua une guerre civile et en l’an 1, la cité libre de Kapitall est devenue le Bosrjk et Munix I, devenu Munix le Tyran a réformé le calendrier et a choisi la fin de la cité libre de Kapitall comme an 1.
Empire du Bosrijk
Kapitall sous le reigne de l’empire du Bosrijk arrive à son apogée et détient le record de croissance démographique au monde ainsi que le record du nombre d’habitants du monde. La capitale de cet empire imposant sur le reste du monde lui a permis un apport culturel, et a été le moteur économique du Bosrijk, ainsi qu’un des lieux les plus défendus du monde. Son ouverture ont permis lors de la Révolution des Montagnards un apport considérable de tourisme.
Des monuments comme la Grande Bibliothèque de Hashjan-Kebelor le Sauveur ont vu le jour et leurs ruines nous permettent toujours aujourd’hui d’apprendre des choses sur notre passé proche. La ville a atteint les 50 000 habitants en 97, son pic d’habitants qui aurait pu être plus haut si le Grand Sauvetage n’avait pas eu lieu.
En 106, malheureusement, la Nouvelle Grande Catastrophe a eu lieu et la ville n’ayant pas été totalement évacuée s’est retrouvée avec un millier de personnes dans les galeries souterraines de Kapitall.
Après la Nouvelle Grande Catastrophe
Kapitall en ruines a été constamment habitée par les survivants qu’on appelle les Kapitalilki qui ont survécu grâce aux fermes à UV bâties par des particuliers dans les galeries souterraines. Lors de l’exploration des ruines de Kapitall, quelques Kapitaliki ont été repérés à la surface et ont permis de rencontrer toute cette nouvelle civilisation.
Kapitall a été encerclée d’après une politique de Hashjan-Kebor le Sauveur par des espaces habités dans l’espoir de pouvoir créer une nouvelle Kapitall. Les choses ne se sont pas passées comme prévues et Kapitall est une collection de plusieurs cités qui forment ensemble Röksbraun-Kapitall. Ces cités se partagent le pouvoir centralisé avec le vote de la cité-mère. Même si ce vote est devenu obsolète avec la destruction du Bosrijk en 147, il a toujours lieu.